Un problème de p’tite vie subsistait : après avoir glissé la carte bancaire dans un nombre important de guichets automatiques qui ne montraient jamais de signes d’acceptation de notre carte débit Desjardins, la magie a opéré au guichet de la Intesa Sanpaolo S.p.A. Malgré une limite modeste du montant du retrait, nous avons pu faire le plein pour quelques jours.
Un autre problème a surgi. Demain matin, nous devons prendre possession de notre auto chez Europcar. Au numéro de téléphone fourni par notre Agence de voyage, il n’y avait pas de réponse. Après consultation à un bureau d’information touristique, Place Prétoria, pas plus de réponse aux nouveaux numéros de téléphone suggérés par le commis. Inquiets, une fois de plus, nous décidons de marcher vers une adresse située à près de 3 km du centre-ville. On espère que ce bureau d’Europcar pourra nous renseigner adéquatement. Et tel fut le cas.
Retour en métro jusqu’au centre-ville et retour à l’appartement en fin d’après-midi. Fait rare en Sicile, il pleut et il pleut très fort. Des coups de tonnerre éclatent et font sursauter les gens dans la rue. Demain, la situation devrait être rétablie.
Ces quelques considérations sur les aléas d’un voyage, pourtant préparé de longue main, ont pour but de nous rappeler que pour bien voyager, il faut pouvoir s’adapter à toutes sortes de situations qu’il est impossible d’anticiper. Et ces situations simplistes, vues de loin, sont souvent source de stress dans le quotidien d’un voyage.
Les chroniques de ce blogue se veulent d’abord et avant tout, notre journal personnel quotidien qui nous rappellera les grands et les petits moments de notre périple en Italie. Et nous vous invitons à partager ces instants, si cela vous intéresse, bien entendu.
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