Une bien belle journée. La température est encore un peu fraîche mais le soleil est de retour. Nous embarquons sur un bateau rapide et en 45 minutes, nous sommes à Capri, à la Marina Grande. Du port, on accède à la ville par un funiculaire. Petite ville touristique qui accueille des touristes et leur offre, en plus d’un paysage grandiose sur la côte et la mer, des hôtels 4 et 5 étoiles et des boutiques Armani, Gucci, Ferragamo et Versace. C’est beau et c’est cher.
De Capri, on se rend à Anacapri par bus. Anacapri, est une autre petite ville charmante … et touristique, où boutiques et hôtels abondent mais qui se laisse découvrir plus intimement quand on emprunte ses rues et ruelles intérieures. Le calme, la quiétude, le charme méditerranéen qui y règnent, séduisent immédiatement. À 15 h 30, départ de Capri et retour à Naples en fredonnant cette chansonnette popularisée par notre Serge Laprade national (et Hervé Villard, comme me le souligne Daniel P.) : Capri, c’est fini … je ne crois pas que j’y retournerai un jour !
Nous profitons de nos dernières heures pour parcourir le Centre monumental et flâner sur la Piazza del Plebiscito. Cette place est considérée comme l’une des mieux ordonnées d’Europe ; elle frappe par la symétrie parfaite de ses édifices. Nous empruntons ensuite la Via Toledo et remontons jusqu’à notre appartement, tout en nous arrêtant pour déguster un café et un dessert sur une terrasse malgré la fraîcheur de cette fin d’après-midi.
Demain, nous serons à Rome.
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